lundi 3 décembre 2018

vers une forte hausse de la facture d'électricité

Les gaspillages d'électricité que les locataires subissent depuis plus de dix ans avec  l'éclairage allumé en plein jour des parties communes de cet immeuble, ne font plus ricaner que les imbéciles (voir les deux billets précédents)

 

-cliquer ce lien pour lire l'article des Echos-

EDF étant obligé de vendre l'électricité nucléaire à ses concurrents (merci la commission européenne et cette  Europe-là..) les tarifs règlementés d'EDF (80% de sa clientèle) sont fortement menacés et il faut s'attendre à une première hausse en début d'année 2019 de l'ordre de 8%, hausse  qui affectera d'abord les tarifs règlementés d'EDF.




Nous suggérons donc à Paris Habitat de prendre entièrement à sa charge l'éclairage des parties communes de l'immeuble tant qu'il ne sera pas mis fin à ces gaspillages d'électricité.

mardi 27 novembre 2018

Eclairage gaspillé toute l'année

Lors de la première rencontre sur site organisée le 5 juin dernier par Paris Habitat, une locataire demanda à la gérante s'il pouvait être remédié à l'énorme gaspillage d'éclairage des parties communes. La gérante ne compris apparemment pas sa question car regardant vers un lampadaire alors éteint,  lui aurait répondu :



"oh ça ? ça ne consomme presque  rien"

 traduisez :  "circulez, y'a rien à voir.." ou dit autrement : "cause toujours, tu m'intéresses, c'est vous qui payez, pas nous.."

Or, cela fait plus de DIX ANS que ce gaspillage d'éclairage dure.
Depuis la fin de la réhabilitation où l'éclairage par minuterie des parties communes de l'immeuble comprenant 9 escaliers, fut remplacé par un systéme, qui devait - vous allez voir ce que vous allez voir,  nous faire faire des économies -  à un détecteur photovoltaïque couplé à des ampoules "économiques" pour l'éclairage intérieur, détecteur qui se déclenchait pour un oui pour un non, à son tour remplacé par un système à horloge, les frais supportés entièrement par les locataires, aux charges locatives,  pour le poste éclairage parties communes à tout bonnement du jour au lendemain, après réhabilitation,  triplé.  

Ce "presque rien" là fait tâche à l'heure où l'on demande par exemple, aux commerçants de réduire l'éclairage de leurs vitrines et aux autres, d'éteindre en quittant une pièce, à l'heure où les rues Père Corentin, Lacaze, Henri Regnault, Beaunier, Paul Fort, peuvent rester dans le noir plusieurs nuits de suite, un banal immeuble de logements sociaux se permet depuis dix ans, de cramer l'argent de ses pauvres locataires par ces 90 ampoules restant allumer jusqu'à des 11h du matin - et parfois midi certains jours fériés et dimanches - et s'allumant deux heures avant qu'il ne soit nécessaire le soir !!

La gérante oubliait peut être que les lampadaires sont à ampoules non économiques et que leur allumage n'est pas séparé, comme cela aurait dû normalement être fait lors de la réhabilitation, de l'éclairage intérieur des cages d'escalier. Chaque escalier ayant 9 ampoules + celle de la casquette extérieure, 10 ampoules, soit 90 ampoules et 8 aux lampadaires "non économiques".

D'après ce que nous savons, le règlage saisonnier de l'horloge commandant cet éclairage serait "trop technique, trop compliqué" pour notre concierge qui refuse ouvertement d'y procéder. Point barre. 

Compte tenu de l'ensoleillement important de cette année, plusieurs locataires scandalisés, qui ne s'étaient pas concertés, eurent l'outrecuidance de lui demander au retour de congés d'été la raison d'un tel gaspillage. Sa réponse consista, dès le lendemain, à laisser tout l'éclairage allumé jusqu'à 13h !! .. pour vérifier et démontrer qu'il n'y avait pas d'anomalie dans son dysfonctionnement.  

Circulez y'a rien à voir, c'est vous qui payez. 
En local au quotidien, Paris Habitat c'est trop souvent fait de ces abus de pouvoir d'un petit despote local que partie de sa hiérarchie laisse agir à sa guise.  

lundi 26 novembre 2018

lundi 12 novembre 2018

Election des représentants des locataires au conseil d'administration




Election des représentants des locataires
 au conseil d'administration de Paris Habitat

Nous devrions recevoir dans le courant de la semaine prochaine (46e semaine - du 12 au 18 novembre)  les documents nécessaires au vote, soit par bulletin, soit par internet, vote qui se déroulerait entre le 9 et le 28 novembre,  selon l'information contenue dans le dépliant joint au dernier avis d'échéance. 

Les candidats sont autorisés, par un courrier du président de Paris Habitat, Roger Madec, adressé à leur fédération, à procéder entre le 22 octobre et le 28 novembre, à des distributions de tracts dans les boites aux lettres et à afficher dans les immeubles dans les "espaces d'expression" signalé par une bulle "je vote pour les locataires". Or, cette bulle a été placée dans notre immeuble, à l'intérieur du panneau d'affichage de Paris Habitat, générant de la confusion quant à l'emplacement de l' espace d'expression.

Au 10 novembre, une seule des sept associations en lice a pu afficher, loin de la bulle et distribuer dans les boites à lettres.
Comment les locataires et notamment ceux arrivés après la précédente élection pourraient-ils se faire une opinion sur les candidats  sans les professions de foi et affiches, sur la seule lecture des noms des candidats figurant au panneau de Paris Habitat ?  

samedi 3 novembre 2018

béquille intérieure SCIEE poignée porte local poubelle !

A défaut d'information locale préalable et d'information tout court, la direction de Paris Habitat pourrait nous dire pour quelle mystérieuse raison la béquille intérieure de la poignée de porte du local poubelle a été sciée juste avant le début du pont du 1er novembre ? obligeant les locataires soit à se pincer les doigts sur le tranchant de la porte pour sortir du local, soit à se blesser la main sur cette béquille sciée.



béquille intérieure SCIEE, de la poignée de porte du local poubelle


S'agit-il de continuer à leur pourrir la vie un peu plus ? 
On n'a évidemment pas pensé à la dizaine d'handicapés vivant sur le site, dont la personne n'ayant qu'un seul bras valide, en faisant procéder à ce sciage délirant.
 A quoi rime cette nouvelle folie qui détériore encore la qualité de vie quotidienne des résidents de l'immeuble ? S'il avait été commis par un locataire on le taxerait de vandalisme et une procédure serait engagée contre lui..
Pourquoi la direction de Paris Habitat laisse-t-il ainsi insulter et maltraiter, par une partie de son personnel, notamment depuis le 17 septembre, ses locataires les plus fragiles ? 
On aimerait bien pour une fois obtenir une réponse sérieuse de la direction de Paris Habitat.


(complété et mis à jour le 4 novembre 2018)  
Cette béquille de porte a depuis été remplacée.

lundi 29 octobre 2018

Abandon en 2022 du réseau téléphonique commuté, dit RTC

Communiqué de l'association Robin des Toits,
 qui va concerner les personnes utilisant encore, le réseau historique de téléphone par fil de cuivre, qui fonctionne même en cas de coupure de courant ce qui n'est pas du tout le cas des box incluant la ligne téléphonique.



"Abandon en 2022 du réseau téléphonique commuté,
 dit RTC : un souci de plus pour les électro hypersensibles !

Le Réseau Téléphonique Commuté (RTC) est le réseau téléphonique fixe historique (avec le téléphone directement branché à la prise en « T »). En France, ce réseau a été déployé autour des années 70 par Orange (ex France Télécom).
 Le RTC s’articule sur un réseau de 110 millions de kms de câbles en cuivre, soutenus par 18 millions de poteaux, et il constitue un bien national, prêt à être bradé (comme la production hydraulique) vers les intérêts privés ou abandonné sous prétexte d’archaïsme. L'ARCEP (Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes) évalue le coût actualisé de ce réseau à 28 milliards d’Euros. Une paille ! Orange explique cet arrêt par la remise en cause de la pérennité de son réseau téléphonique historique d’ici quelques années. L’obsolescence des équipements et composants spécifiques à ce réseau et le désengagement progressif des équipementiers sur cette technologie engendreraient  des difficultés croissantes d’entretien du réseau.  
Mais il s’agit aussi d’une volonté de ne pas conserver et retransmettre les compétences des ingénieurs et techniciens qui partent progressivement à la retraite.

Par ailleurs, le Service Universel Téléphonique (raccordement et fourniture d’un service de téléphonie fixe) permet de faire bénéficier à tous des services de téléphonie fixe à un prix modéré sur l’ensemble du territoire. Les obligations à la charge de l’opérateur Orange, actuel prestataire du service universel, sont indépendantes de la technologie employée.
 Le RTC va être remplacé par l’IP (Internet Protocole) via la technique de VoIP (voix sur IP). Concrètement, une box Internet minimaliste permettra l’accès au Service Universel de Téléphonie et, pour certains opérateurs, l’appareil téléphonique fourni avec la box sera muni d’une carte SIM, donc avec accès au réseau de téléphonie mobile. Les électro hypersensibles (EHS) mais aussi les réfractaires à l’électrosmog apprécieront d’autant plus que, pour être joignables, il faudra garder ces équipements “connectés” allumés en permanence.
 L’association d’une ligne fixe avec un combiné téléphonique classique (non raccordé électriquement) sur le RTC a l’énorme avantage d’être indépendant du réseau électrique 50 Hz pour fonctionner. A partir de 2022, en cas de panne électrique généralisée, une fois que les batteries de secours des antennes relais seront déchargées, on assistera à un black out total des moyens de communication, puisque notre cher réseau cuivre aura été abandonné sur l’autel d’une certaine idéologie du progrès.
 A force de vouloir toujours mettre les œufs dans le même panier…"

jeudi 25 octobre 2018

recours contre la loi ELAN par saisine du Conseil Constitutionnel

Quelques jours après le vote définitif le 16 octobre dernier, de la loi sur l'évolution du logement, de l'aménagement et du numérique, dite Elan, 60 députés ont saisi le Conseil Constitutionnel, le 23 octobre. 
 Les motifs de leur recours portent principalement sur deux points : 
  • la réduction du nombre de logements neufs accessibles aux handicapés, dans les nouvelles constructions ;
  • le bidouillage de la loi littoral, qui favorisera de manière déguisée, par la construction dans les soi-disant "dents creuses" sur des parcelles vides, à nouveau le bétonnage. L'un des prétextes invoqués, très amusant à l'heure du saccage des services publics, étant "de permettre d'améliorer l'offre de services publics" dans les sites "déjà urbanisés", au-delà néanmoins des 100 m du littoral ... 

Pour ce qui concerne le volet vente de logements HLM, la loi ELAN en assoupli les conditions. La vente en bloc de logements sociaux à des acteurs privés serait autorisée, c'est-à-dire la vente en lot de plusieurs logements. 
Il est également envisagé de procéder au regroupement de "petits" organismes de logements sociaux (seuil de 12 000 logements).
Une ordonnance permettra aux bailleurs de fixer plus librement les loyers de leurs logements, en les adaptant aux capacités financières des ménages qui les occupent – ils découlent aujourd'hui des financements d'origine. 
Pour plus de transparence dans l'attribution des logements sociaux, la « cotation », qui attribue des points aux candidats en fonction de critères clairs, sera généralisée. La situation des locataires sera réexaminée tous les six ans : ceux ayant des revenus supérieurs aux plafonds devront payer un « surloyer » ou partir afin de laisser la place à des ménages moins aisés.

Le rôle des architectes seraient considérablement réduit pour la construction et la gestion des logements sociaux, ainsi que dans les CROUS. 
De même l'avis des architectes des Bâtiment de France ne sera plus "conforme", c'est-à-dire obligatoire, mais devient "simple", c'est-à-dire seulement consultatif, pour notamment l'installation des pylones de téléphonie mobile (antennes relai) sur ou à proximité des sites classés patrimoine architectural.  

La saisine du Conseil Constitutionnel ne retarde que de quelques semaines la promulgation de la loi qui était prévue pour fin novembre. 

voir pour les grandes lignes de la li ELAN :
https://www.lesechos.fr/industrie-services/immobilier-btp/0302282486496-logement-ce-que-va-changer-la-loi-elan-2206826.php#xtor=EPR-3-[envoi-ami] 

lundi 24 septembre 2018

d'un local poubelle surdimentionné ?

Lors de la concertation il y a une dizaine d'années, concernant l'implantation d'un local il avait été acté, à notre demande, que son implantation ne devait en aucune façon obstruer l'accès au portillon secours vers la façade Prisse d'Avennes. Or il n'en a rien été car ce portillon s'est retrouvé pour "raisons techniques" enfermé dans le local.

Que prévoit la loi du CCH-article R.111.3 ?
-  pour les caractéristiques techniques 
  le local à poubelles doit être clos et ventilé. Il doit par ailleurs :
  • être doté de portes permettant une fermeture hermétique,
  • être doté de parois (murs et sol) imperméables et imputrescibles (ou au moins revêtues de matériaux de ce type),
  • empêcher l'intrusion des insectes et rongeurs,
  • être doté d'un poste de lavage et d'un système d'évacuation des eaux,
  • ne pas communiquer directement avec les locaux affectés à l'habitation, au travail, au remisage de biens des occupants (vélos, poussettes...), à la restauration, ou à la vente de produits alimentaires.
Si la configuration de l'immeuble ne permet pas la création d'un local à poubelles, les bacs à ordures peuvent être installés à l'emplacement le moins gênant pour les occupants (sauf dans les lieux d'accès aux cages d'escaliers). Un point d'eau et une évacuation des eaux usées doivent alors être aménagés pour permettre de les nettoyer.

Or ce local très ventilé naturellement n'est pas clos puisque pour partie, celle qui n'aurait pas dû être utilisée est ouverte sur le jardin et malheureusement, on va le voir en images, sur le balcon de l'habitation du rez-de-chaussée ; il ne dispose pas d'un poste de lavage et n'empêche pas l'intrusion des insectes et rongeurs, il gêne considérablement l'intimité et la tranquillité des résidents du rez-de-chaussée de par la nouvelle disposition adoptée depuis le 17 septembre par la concierge,

 - pour l 'entretien et le nettoyage

Le local à poubelles doit être maintenu dans un bon état de propreté, tout comme les bacs (conteneurs à couvercles colorés destinés à accueillir les déchets triés) qui y sont installés.
L'entretien et le nettoyage du local et des bacs doivent être assurés de manière à ce qu'aucune odeur ou émanation gênante ne puisse pénétrer à l'intérieur des logements
Ces tâches sont assurées : 
  • par le gardien ou le concierge
  • ou par un employé mandaté

en ce qui concerne le bruit, les odeurs et les émanations gênantes étant donné que ce local est ouvert directement sur l'habitation du rez-de-chaussée, c'est complètement râté. Et depuis plus de dix ans Paris Habitat, à commencer par la concierge, se fout totalement des gênes occasionnées puisque depuis le 17 septembre elle en a rajouté une bonne louche en collant des bacs contre la grille ouverte au raz du balcon du rez-de-chaussée... en laissant complètement inoccupée la partie close du local

- pour l'accès et l'utilisation

Les occupants de l'immeuble doivent avoir accès au local à poubelles (ou aux bacs à ordures s'il n'y a pas de local spécifique) chaque jour, y compris si la collecte n'est pas quotidienne.
Les bacs destinés à recevoir les déchets doivent être en nombre suffisant pour éviter toute surcharge.
Les occupants sont tenus de déposer et trier leurs déchets ménagers dans les bacs prévus à cet effet.

 Les bacs à couvercle jaune ne sont pas en nombre suffisant, ils débordent toujours, il en manque au moins un.


disposition des bacs verts jusque fin août face à la porte

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jeudi 26 juillet 2018

les cobayes de l'été grâce aux antennes relai

Chaque année en été et ceci depuis une quinzaine d'années, et lors de tous les congés (Noël, Pâques, etc..) ORANGE largue les amarres et "débride"toutes ou partie de  ses antennes en oubliant la charte de Paris sur la téléphonie mobile. Les seuils d'émission explosent alors aux détriments de la santé des locataires demeurant à 25m du lobe principal de leur antenne azimut nord ou nord-est.

Nous mesurons depuis le mois début du mois de juillet, une irradiation très excessive mettant en danger notre santé, voires la vie des personnes devenues fragile à cause de l'exposition de très longue durée subie du fait d'une implantation inaproppriée sur un immeuble d'habitations.
Une irradiation augmentant d'année en année et à chaque nouvelle "invention" de GSM à 3G, de 3G à 4G, sans que ni Paris Habitat, ni Orange bien évidemment et vraiment très peu les élus, tous bords confondus,  soient-ils ne se soucient des gens qui vivent-là dans le lobe principal de cette antenne relai, dont le démontage a été demandé dans une pétition transmise il y a déjà 8 ans.

Le niveau d'irradiation mesurée ce mois de juillet en réception aux fenêtres des derniers étages, les plus affectés, des escaliers A et B, vont de 4,2 V/m à 5,7 V/m avec des pics à 6,3 V/m !! ce qui signifie que l' émission à l'antenne située à 25m doit être supérieure à 6 V/m. De jour comme de nuit, 24h/24.

Pour rappel, les personnes fragiles ne peuvent supporter, sans dommage pour elles, que 0,2 V/m pendant peu de temps et de façon NON permanente. Même chose pour les enfants et les personnes âgées. Pour les adultes encore en bonne santé, la limite de tolérance par l'organisme varie entre 0,4 V/m et 0,6 V/m et seulement pendant quelques heures, et en tout cas pas pendant leur sommeil pour aucune de ces catégories de personnes. Chaque irradiation subie est cumulative augmentant les dégâts provoqués dans l'organisme.

Mais bien évidemment tout le monde s'en fout à commencer par Paris Habitat pour continuer à mettre ainsi en péril la santé et la vie des locataires concernés par ces expositions de très longue durée. Sinon, il y a longtemps qu'il aurait entendu nos réclamations, certaines années relayées par la mairie locale, et fait démonter cette antenne irradiant dangereusement les occupants des logements situés dans son lobe principal.

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samedi 2 juin 2018

vente à la découpe du patrimoine français de logements sociaux ?

L'accélération de la vente des logements sociaux fait partie du "plan logement" de l'exécutif présenté en septembre dernier. L'objectif fixé par le gouvernement étant de vendre 40 000 logements sociaux pour récupérer dit-on, environ 3 milliards €.

Le projet de loi fourre-tout ELAN contenant ce plan arrive début juin à l'examen de l'Assemblée Nationale et passera les obstacles démocratiques à coup d'ordonnances à la méthode gremlins en vogue au gouvernement et exécutif actuels.

Dans le discours, il s'agirait de : 

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mercredi 9 mai 2018

compteur Linky et seuil d'immunité électromagnétique

La faute majeure d'ENEDIS, le Linky n'est pas blindé
ENEDIS (profane en CEM ? Linky et seuil immunité ÉlectroMagnétique) va devoir assurer cette faute majeure.


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 → Le Linky est un condensé de composants électroniques incompatibles avec un appareillage de sous-tirage de puissance.

 Le compteur connecté Linky a de nombreuses différences fondamentales par rapport aux compteurs traditionnels électromécaniques ou électroniques dont un dispositif intégré de coupure à distance, dit autrement, dans son boitier se trouve un disjoncteur de puissance ce qui signifie que c’est du deux en un par rapport à l’existant. Dans tous les cas, les consommateurs équipés de compteurs connectés Linky doivent savoir, même si en aval du Linky il y a un toujours un disjoncteur différentiel calibré au maximum, que le compteur Linky, qui est un appareil connecté, permet à ENEDIS à l’insu du consommateur de réaliser toutes les manipulations et modifications à distance qu’elle souhaite comme couper ou rétablir l’alimentation électrique, via le disjoncteur (organe coupures Réf 1 ci-contre) de puissance spécifique intégré dans le Linky.
Ce mini disjoncteur unipolaire sert aussi à limiter la puissance de l’abonnement en KVA et non pas en kW comme avec les disjoncteurs traditionnels, donc ↘ ± 12% de puissance ! Notons que la protection différentielle du Linky est à 500 mA donc à minima contrairement aux disjoncteurs traditionnels bipolaire surdimensionnés
qui souvent étant à 300 mA peuvent mieux techniquement prévenir un dysfonctionnement d’appareil, donc mieux protéger les personnes et les biens.

 - Pourquoi les compteurs connectés Linky de classe M1 sont-ils sujets aux incendies ?
→ La norme : En France concernant les appareillages électriques En France, il existe un classement sous norme NF P92-507 qui est composé de 5 catégories qui définissent la réaction au feu des matériaux : elles vont de la classe M0 - incombustible à M4 pour désigner les matériaux les plus inflammables. Le Linky est de la classe M1 – combustible non inflammable, cela ne veut pas dire qu’il ne peut pas brûler, mais signifie exactement que le Linky est combustible, et qu’en l’absence de flamme il ne peut brûler ...
→ Problèmes : Toutes surintensités ou court-circuits engendrent une très forte augmentation de la température des circuits par effet joule, avant il y avait en protection les disjoncteurs magnétothermiques ou des fusibles en plomb, d’où l’expression "les plombs ont sauté". Maintenant indépendamment des fuites de courant vers la terre qui sont très bien maîtrisées par les protections différentielles, les gestions des points chauds dans le concentré de composants électroniques, contacts, connexions, dérivations et autres présentes dans le compteur Linky s’avèrent délicates lors de sous-tirage de puissance car ils opposent tous une Résistance Globale (RG), donc il existe un effet joule cumulatif générant une forte température qui par un cercle vicieux à son tour engendre une augmentation exponentielle de la Résistivité Globale électrique de certains points des composants et matériaux fussent-ils isolants avec au final des sources potentielles propices à l’amorce de départ de feux.
→ En conséquence : si le disjoncteur intégré au Linky dysfonctionne comme c’est généralement ce qui est constaté par tous les témoins (feux d’arcs électriques), les consommateurs ou les pompiers sont dans l’impossibilité de couper l’alimentation électrique, donc il est très difficile d’arrêter les départs d’incendies, les dégâts peuvent être importants, les pompiers simples spectateurs.
→ A ces phénomènes physiques connus se rajoutent en association aggravante pour les composants électroniques sensibles les pulses de la LDE - Linky Dirty Electricity sans et avec filtre (harmoniques et interharmoniques) du CPL : 

Avec le Linky la fondamentale 220 V du courant électrique linéaire est parasitée en permanence par des pulses cycliques des trames du CPL dans la gamme des kHz, ceci provoque des échauffements dans certaines connexions du Linky d’autant plus importants que la puissance de sous-tirage augmente. Tous ces échauffements se conjuguent et augmentent fortement la température de tous les composants situés dans le boitier hermétique donc non aéré et non ventilé du Linky dont toute la structure en plastique injectée à une norme de sécurité incendie M1 du Linky est dite d’extinguibilité c’est-à-dire qu’elle peut brûler qu’avec une source de flamme ou un arc, mais s’éteint d’elle-même si elle n‘est plus soumise à une source. Fatalement en fonction d’une conjonction de facteurs, vieillissement précoce des composants inclus, il y a moult possibilités d’aboutir à une amorce de feu sur l’un des multiples points chauds du Linky suite à la fonte de composants associée aux dégagements de gaz inflammables.
 → Pourquoi ce défaut majeur n’a-t-il pas été détecté lors des tests essais ou dans la phase de tests en situations réelles ?
Les retours d’expériences montrent que bientôt depuis presque une décennie ENEDIS pensait tout maîtriser, de l’extériorisation de la communication et la non divulgation des problèmes, néanmoins toutes les avancées sur les connaissances de l’architecture, le système, les caractéristiques et les problèmes du Linky ont été arrachées aux cours des mois "aux forceps" de la preuve, dit autrement, ENEDIS n’a cessé de mentir aux citoyens /consommateurs pour favoriser l’acceptation de son concept qui va, ne nous y trompons pas, bien au-delà d’un simple comptage évolué."


suite des Next-Up news mai 2018

lundi 5 février 2018

point recyclage dans le quartier

Ecologic France logoorganisme agréé par l'Etat


et 


EMMAUS IDF

du 13 janvier au 9 juin 2018
le 2e samedi de chaque mois
entre 10h et 14h 

deux points de collecte
l'un à Alésia (à côté de la station de métro), 
l'autre place du 25 août 1944


Vos appareils électriques et électroniques en état de marche ou usagés, seront réemployés par Emmaüs ou recyclés par Ecologic, un éco-organisme agréé.

Cafetière, téléphone, fer à repasser, bouilloire, perceuse, balance, console de jeux, ordinateur portable, imprimante, montre,  réveil, lave-linge, cuisinière..

Egalement : textiles, bibelots, jeux, livres, petits mobiliers.. 

Les samedis 10 février, 10 mars, 7 avril, 12 mai, 9 juin 
voir les autres dates et point de collecte dans le 14e en cliquant ici