Pour l'exercice 2011 elles s'élèvent à 20 172,71€, à la charge des locataires, pour un temps complet, et non un mi-temps ou temps réduit, l'horaire de travail de la gardienne étant précisé dans une note éditée par la gérante Mme Bouvier, affichée aux panneaux d'information de Paris Habitat, où l'on peut lire :
"La loge est ouverte du lundi au vendredi
de 8h à 12h et de 15h15 à 19h15
Votre gardien dispose d'une pause d'une demi-heure le matin et l'après-midi, annoncée préalablement par affichage.
Le mercredi, il assure une permanence à sa loge de 16h à 18h. "Paris Habitat OPH a fourni à chaque gardien une affichette avec horodateur pour indiquer lorsqu'il s'absente de la loge, l'heure (approximative) de son retour. Horodateur que malheureusement pour la qualité du service aux locataires, Mme Robert refuse, la plupart du temps et surtout chaque été, d'utiliser. Or, les locataires qui ne partent pas en vacances en été, paient strictement les mêmes charges de gardiennage que les autres locataires.
Compte tenu du fait que la gardienne affectée à notre groupe se permet de prendre de très haut, poussant le culot jusqu'à évoquer un pseudo "manque de respect" (sic !) à son égard, des locataires qui osent (re-sic !) lui demander, légitimement, de respecter les obligations de sa fonction, en n'oubliant pas d'afficher l'heure prévue de son retour sur la porte de la loge, nous avons décidé cet été d'alerter la gérante Mme Bouvier, lors de ses absences répétées aux heures d'ouverture de la loge, non signalées par l'affichette horodateur.
(Cliquez les photos pour les agrandir)
vendredi 17 aout, 10h, loge vide depuis 9h, pas d'indication heure de réouverture, plusieurs livreurs cherchent la gardienne et repartent avec leurs colis volumineux ne sachant pas où trouver le destinataire.
lundi 20 aout, 8h30 : une entreprise devant intervenir dans un logement cherche la gardienne, aucune indication d'horaire de retour,
patientent dans leur véhicule jusqu'à 9h30 où constatant qu'il n'y a toujours personne à la loge, partent sur un autre chantier...
mardi 21 aout, 16h20, loge fermée depuis 15h30, absence d'indication de l'heure de retour.
2 commentaires:
de : La Lanterne
Bonjour à tous,
Je tiens à vous faire part de certaines de mes réflexions sur ce qui se passe dans notre immeuble :
Plusieurs locataires m'ont rapportés que la gardienne n'était pas dans sa loge aux heures d'ouverture et qu'ils l'ont attendue sur le perron. Malheureusement, ils n'ont pas osé lui faire de remarque de peur de sa réaction.
Sous réserve que ce qui m'a été dit soit vrai, je vous dirai qu'une partie du travail de la gardienne consiste à répondre aux problèmes rencontrés par les locataires, ce qui ne peut être le cas si elle n'est pas là…
De plus il semblerait aussi qu’elle parle de la vie privée des locataires à d’autres locataires. Si c'est le cas, on peut considérer que c'est une violation du secret professionnel surtout si cela crée des conflits entre locataires. Les cancans très peu pour nous ou alors Paris habitat devrions embaucher une assistante sociale au lieu d'une gardienne.
Tout cela pose plus sérieusement la question des tâches qui lui sont dévolues, nous finançons tout de même une partie de son salaire !
Pour finir, je vous invite si vous estimez que vos droits ne sont pas respectés à le signaler à la gérante qui je l'espère vous répondra !
Mesdames Messieurs Bonne journée.
La Lanterne qui est Toujours Allumée
Une assistante sociale pour réparer les dégâts qu'elle cause par harcèlement sur les plus isolés, depuis ces quatorze années qu'elle nous pourrit la vie ?
Notre gardienne tendance geôlière est aussi championne de l'atteinte à la vie privée des locataires. Ne voila-t-il pas que cette année elle s'est inventée une nouvelle tâche inquisitoriale et demande aux locataires qui s'en sont étonnés, directement, ou par l'intermédiaire de sa petite clique de voisins cafteurs :
- quand partez-vous ?
ou
- à quelle date partez-vous en vacances ?
Cela ne la regarde absolument pas ! Elle raconte même qu'elle tient un relevé des jours d'absence des locataires. Hallucinant.
C'est la CNIL qui pourrait s'intéresser à son cas très, très spécial, parce qu'il serait étonnant que sa hiérarchie l'ait chargé d'inventer de nouvelles atteintes à la vie privée des locataires...
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