- utilisation ou pas du vide-ordure
- utilisation ou pas du local vélo
Nous rappelons que pour ce qui concerne la suppression de l'usage des vide-ordures que nous souhaitions, ainsi que la seconde association - qui a depuis la fin des travaux, cessé son activité -, ce projet avait été après réflexion abandonné, car il impliquait que l'on déduise de la surface corrigée de chaque logement, les 4m² (ou 2m² pour 8 des 142 logements) correspondant à cet "élément de confort" , du calcul du loyer.
Ce projet réapparaissant, faut-il supposer qu'une solution aurait été trouvée ? A savoir, la déduction du loyer de chaque logement de l'équivalent de ces 4 ou 2m² selon le cas. Ou bien s'agit-il d'une nouvelle maladresse de la gardienne ?
Pour ce qui concerne l'avenir du local vélos, nous souhaitons, comme nous l'avons déjà demandé à plusieurs reprises, que ce sujet soit à l'ordre du jour d'une prochaine réunion de concertation locative car nous ne comprenons pas trop bien que l'on refuse à des locataires anciens d'y mettre leur vélo, tout en laissant squatter l'emplacement par des poussettes, qui ne sont plus utilisées depuis plusieurs années et n'ont rien à faire dans ce local exigu. D'autant plus que ce local ne répond pas, du fait de la présence récurrente de souris, aux normes d'hygiène pour y ranger, ne serait-ce qu'une nuit, des landaux...
Nous poserons donc ces questions lors d'une prochaine réunion locative avec des sujets, à notre avis, bien plus prioritaires tels que :
- gravité des nuisances de l'antenne relai tri-bandes irradiant la façade intérieure, de l'escalier A à l'escalier B notamment ;
- isolation phonique, obligatoire, mais non effectuée lors du remplacement de la chaudière fuel par les deux chaudières gaz, de la toiture de la chaufferie. Cette absence d'isolation phonique produisant la nuit et notamment pendant la période de chauffe où les chaudières se relancent très fréquemment, une nuisance sonore insupportable pour les locataires de l'escalier A, du rez-de-chaussée au 3e étage ;
- pose urgente d'un déflecteur absent sur le conduit d'évacuation des fumées toxiques de cette cheminée de chaufferie pour éviter qu'elles ne se rabattent, comme elles le font depuis plusieurs années, sur la façade jardin et les fenêtres de l'escalier A et B aux 7e et 6e étage, (demande datant de plusieurs années) ;
- réparation du conduit, percé depuis deux ans, de descente eaux pluviales sur la façade intérieure à hauteur de l'escalier G, entre le 1er et 2e étage ; ce qui finira par produire des infiltrations par capillarité ;
- pannes répétitives souvent longues à réparer sur tous les ascenseurs et nuisances sonores importantes de certains d'entre eux, jamais solutionnées ;
- etc..etc...
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