mardi 25 février 2014

méthodes de brigands


Jeudi 20 février, le comportement très border line d' un homme a été observé depuis son salon par un locataire qui le surprenait d'abord à escalader, au milieu de l'après-midi, le portail d'accès réservé aux véhicules, puis aller ouvrir de l'intérieur à deux de ses "collègues" attendant devant le portillon "piéton", rue du Père Corentin. Ils s'introduisirent dans les escaliers visibles depuis son appartement en attendant qu'un résident entre ou sorte, ou en sonnant à tous les interphones pour se faire ouvrir.

Cette fine équipe bossait, nous le découvrirons une heure après son entrée dans la résidence, sans savoir alors comment ils y étaient entrés, pour l'opérateur Bouygues et tentait de vendre des abonnements à la fibre avec un argumentaire digne de l'âge des cavernes, à 37€ et des poussières avec une offre destinée à casser de la concurrence "tout compris", même la désinformation par omission.

L'homme coiffé à l'iroquoise, cause, la femme qui l'accompagne, un peu en retrait note sur un bloc qui se transforme peut être à un moment clef et à votre insu en un contrat que vous ne signerez peut être jamais.

Son attaque, brute de décoffrage, démarre sur la box SFR, car il sait évidemment que cet immeuble est sous contrat de "service universel ou de base" avec SFR, puisque, lui, veut occuper la seconde fibre, libre, en vous forçant un peu la main.

En écrivant cela, nous pensons surtout aux nouveaux locataires qui pouvaient être chez eux ce jour-là et n'ont pas déjà subi, comme les plus anciens, les assauts des opérateurs "officiels" qui furent tout aussi violents que celui-ci .

Et puis, comme après le premier passage des commerciaux de SFR, il y a cinq ans, dans la soirée aujourd'hui, pour vous convaincre que l'autre est bien mieux que celui que vous avez actuellement, on nous a fait le coup de l'écrasement de lignes. Entre 22h10 et 22h30, pof. Lignes écrasées.

A bien y regarder, à part quelques Orange, ce sont surtout des lignes Numéricable, qui ont été une fois encore écrasées. Bien sûr, ensuite lorsque toutes les plaintes seront remontées auprès des opérateurs concernés et que des amendes seront peut être distribuées  entre brigands, le dindon de la farce ce sera encore vous. Parce que bien évidemment, les dédommagements vous n'en verrez pas la couleur, ils se les empochent entre larrons concurrents.

C'est à ce genre de méthodes de gangsters que l'on mesure, et non au matraquage publicitaire actuel de cet opérateur, la réalité du souci qu'il se fait ne se fait pas pour le service de ses futurs clients.