Comme nous le constatons malheureusement chaque année,
le chauffage n'a pas réellement démarré le jeudi 14 octobre...
car n'avoir que des radiateurs qui restent froids et la seule colonne montante très tiède et ceci entre, seulement 7h et 8h du matin, n'est pas être chauffé.
Colonnes froides la nuit, donc radiateurs froids ... même dans les salles de bains.
Merci de revoir le règlage de la chaudière collective
En mars, 3 jeunes avaient improvisé un pique-nique sur le toit de la chaufferie. Ayant été rappelé à l'ordre par un locataire, se sont amusés avant de partir à casser leurs bouteilles de bière sur le toit de la chaufferie.
Depuis lors, les débris de verre n'ont pas été retirés.
Cela a donné des idées à des enfants d'une nouvelle famille de l'escalier B, qui jettent depuis aussi bien leurs jouets (petites voitures) que de la vaisselle en verre blanc sur le toit de la chaufferie. Si l'on vient récupérer de temps à autres les jouets, le verre brisé non.
Et dernier acte d'incivilité, toujours depuis une fenêtre de l'escalier B, un objet en verre blanc a été balancé sur le passage piétons devant l'escalier A, le vendredi 21 mai , qui s'est brisé bien évidemment en éclats sur le passage, ce qui apparemment amuse beaucoup cette famille, les animaux domestiques pouvant se blesser les coussinets avec les éclats de verre
A ce jour, ni les eclats de verre sur la chaufferie, ni le verre brisé sur le passage n'ont été retiré.
mise à jour 21 juin 2021
les débris de verre sur le passage ont été finalement et sommairement balayés le vendredi 18 juin.
Si nous n'avions pas mentionné sur ce blog ce défaut d'entretien de la cour , ils y seraient toujours. Les périodes de confinement n'empêchaient pas le balayage en plein air.. Pour rappel, le verre blanc avait été jeté le vendredi 21 mai dans l'après midi.
La gardienne peut passer des heures à balayer le trottoir devant les escaliers du bâtiment Prisse d'Avennes, mais elle n'a "jamais le temps" de balayer un petit bout de trottoir devant les escaliers A et B. Pourtant les locataires de cette partie paient aussi les charges d'entretien comme tous les autres.
Paris Habitat devrait peut être lui retirer des taches administratives pour lui dégager ce temps d'entretien ??
Verre blanc brisé, régulièrement réparti sur le toit de la chaufferie, depuis mai 21. Auparavant il était jeté depuis plusieurs mois, avec des jouets d'enfants, des flacons vaporisateurs qui explosaient au contact, dans le désordre.
Les jouets, peluches, petites voitures et poires des vaporisateurs retirés par ?? le verre restant a sans doute pour but de blesser les quelques pigeons qui se baladaient à la recherche de nourriture et se doraient au soleil le cas échant, mais les deux chats noctambules, venus du voisinage, qui grimpent la nuit sur le toit de la chaufferie peuvent aussi se blesser les coussinets des pattes.
Si le règlement intérieur de PH interdit bien le jet d'objets par les fenêtres, la législation, elle, interdit l'épandage au sol d'objets blessants pour les animaux et la petite faune.
Contrairement à ce qui nous avait été indiqué, l'information des dates de l'enquête annuelle de satisfaction est bien dans le panneau d'affichage de chaque hall d'escalier, même si effectivement à certains endroits, elle n'est pas visible au premier coup d'oeil car glissée sous le Règlement intérieur, qui recouvre le tiers bas de la note et il faut regarder à deux fois pour la distinguer.
du fait de la curieuse fermeture à clef du local poubelle , 24h/24, depuis le 25 mai l'accès pompiers pour la longue façade Prisse d'Avennes, se trouvant à l'intérieur du local poubelle, est de facto inaccessible 24h/24
Local temporairement réouvert le samedi 29 et le dimanche 30, puis reverrouillé le lundi 31 mai et toute cette 23e semaine.
Une lecture erronée ? du règlement intérieur de Paris Habitat , notamment cette phrase de l'article 11 :
"Il veillera à maintenir les locaux poubelles et les locaux vide-ordures fermés et en bon état d’usage et de propreté"
Fermés ne signifiant pas ici "verrouillés" .. serait-elle à l'origine de ce verrouillage, depuis le 25mai, incluant celui de l'accès pompiers qui doit resté ouvert 24h/24 ?
voir lien :
règlement intérieur location Paris Habitat
En tout état de cause, les compteurs Linky ayant été posés récemment et sachant qu'ils ont le défaut de s'enflammer spontanément, à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, un incendie avec un des deux accès pompiers obligatoires, verrouillé par caprice de la gardienne serait catastrophique pour la sécurité des 100 résidents de cette partie du groupe.
Nous rappelons en effet, qu'un incendie pour les mêmes raisons de caprice d'un gardien de l'immeuble qui avait décidé, lui aussi, de verrouiller l'accès pompiers considéré par lui comme "inutile", avait fait il y a environ 6ans plusieurs blessés et des dégâts importants dans un autre immeuble de Paris Habitat ...
Nous demandons donc que la règlementation soit à nouveau rappelée à la gardienne, qu'elle s'y conforme et que le panonceau rond en métal portant mention "accès pompiers, ne pas encombrer" qu'elle avait elle-même retiré, au prétexte qu'il était cabossé, vers la fin de l'année 1998 de sa prise de fonction dans cet immeuble, soit remplacé sur le portillon d'accès en fer forgé, vers la façade Prisse d'Avennes, constituant le 2e accès pompiers (côté entrée 41 Sarrette) , où il était fixé, depuis la construction de l'immeuble en 1957.
Et que bien évidemment, cet accès pompiers ne soit plus sous n'importe quel nouveau prétexte de son invention, condamné !!
(mis à jour dimanche 6juin)
Signalée à plusieurs reprises, il y a une douzaine d'années, pendant les travaux de réhabilitation par Jacques Berger, à l'équipe de l'OPAC,, une fuite au niveau de l'avant dernier collier de serrage de la descente des eaux pluviales, entre le rez-de-chaussée et sous le 1er étage, à l'angle de l'escalier D , façade intérieure, qui avait été considérée anodine par M. Mariette.. n'a des années plus tard, jamais été réparée bien que les dégâts soient largement visibles pour les voisins du rez-de-chaussée dont les fenêtres de cuisine et salle d'eau sont copieusement arrosées dès qu'il pleut.
Re-signalé à la gardienne qui elle non plus ne voit pas d'urgence à faire une réparation à cet endroit, le dernier tronçon de cette descente est à présent très dégradé et le mur jouxtant du local poubelle est lui aussi maintenant attaqué au même titre que le mur de l'appartement du rez-de-chaussée, des infiltrations par capillarité pouvant se produire jusque dans la cave.
Nous ne comprenons pas très bien quel intérêt il peut y avoir à laisser s'installer un désordre au bâti pouvant générer des infiltrations importantes qui menaceraient la salubrité des appartements alors qu'il suffisait de stopper cette fuite en procédant à la réparation ou remplacement du dernier tronçon pour faire cesser la nuisance et les infiltrations par capillarité.
A noter que les locataires du rez-de-chaussée sont obligés de vivre volets fermés dès qu'il pleut, des trombes d'eau étant à présent projetées par cette fuite, sur le mur et fenêtres dès qu'il pleut
