lundi 13 mai 2019

défaut d'information des remplaçants

Il semblerait que les consignes concernant la sortie des bacs n'ait pas été correctement passées par la gérance ou son agent local avant son départ en congés, au remplaçant de l'agent de PH ou que l'entreprise que nous payons dans les charges pour les sortir en son absence les week-end,  jours de congé et vacances de celle-ci n'ait pas été prévenue de la date de ses congés du 2 au 14mai, car les bacs verts sont restés pleins toute la journée du samedi 11 mai 2019 devant l'immeuble et n'ont pu être vidés que le dimanche matin. Ceux-ci n'ayant pas été sortis le vendredi soir comme le faisait auparavant ses remplaçants en son absence, mais trop tard après le passage des éboueurs samedi matin.



De même qu'il semblerait que le gardien remplaçant n'ait pas été informé de l'obligation qui est faite à tous les immeubles parisiens de rentrer les bacs vidés au plus tard dans la demi heure suivant le passage des camions de ramassage, car les bacs de notre immeuble étaient encore dehors dans la matinée du lundi 13 plusieurs heures après le ramassage, ce retard pouvant être dû au fait que ce remplaçant, dont le nom n'est toujours pas visiblement affiché dans les parties communes de l'immeuble, s'occupe peut-être (?) de plusieurs remplacements de loges PH de l'arrondissement pendant cette période de congés.

Mais il est constaté trop souvent que si tous les gardiens (ou leurs entreprises) du quartier s'acquittent normalement de cette obligation, l'agent local de PH ne la considère pas comme une priorité et peut laisser trainer les bacs devant l'immeuble plusieurs heures après le ramassage et parfois jusqu'à midi .

Il y a quelques années, jusqu'à la gérance de M. Bernard, il entrait dans la fonction du gérant de passer une fois par semaine en matinée sur le site pour contrôler l'effectivité du service de l'agent local gardien et faire le point des petits travaux d'entretien nécessaires à l'immeuble. Il est regrettable que cette visite hebdomadaire sur site ait été supprimée de la tâche des gérants, car elle évitait bien des abus, défauts de service et incompétences.

samedi 11 mai 2019

défaut de service : rats squatteurs sur jardin Prisse d'Avenne


Sachant que Paris Habitat a déjà fait installer très rapidement dès leur signalement, dans certains de ses immeubles du 14e où cela était nécessaire, des pièges à rats qui sont régulièrement remplacés par une entreprise lorsqu'ils sont pleins, nous ne comprenons pas pourquoi son agent local n'a pas demandé à la gérance que cela soit fait dès leur découverte l'été dernier dans le jardin Prisse d'Avenne, plutôt que d'avoir procédé à ce genre de bricolages contre productifs (supprimés par la régie des jardins lors de leur dernièr entretien fin avril 2019)












qui a généré au contraire la multiplication des tunnels de terriers qui d'un sont devenus quatre, et des rats qui en sont maintenant à chercher leur nourriture jusque sur la chaussée et le trottoir de l'école Prisse d'Avenne en soirée. Et pourrait à la longue entrainer, si la multiplication des tunnels continue, un fontis en bordure de cloture au ras du trottoit Prisse d'Avenne
 




  


Ce défaut de service, par incompétence de l'agent local de PH (?) ou sens de l'esthétique très contestable - les pièges à rats ne seraient pas "esthétiques" -  prévalant pour elle sur le simple bon sens, aurait pu être évité si comme par le passé, jusqu'à la gérance de M. Bernard, le gérant venait une fois par semaine en matinée sur le site contrôler l'effectivité du service de son agent local gardien et faire le point des petits travaux d'entretien nécessaires à l'immeuble .

 Il est regrettable que cette visite hedomadaire sur site ait été supprimée des tâches du gérant, l' agent local de Paris Habitat, en plus de ses initiatives désastreuses, au final très coûteuses pour la pérennité de l'immeuble et pour les locataires, faisant montre d'une incompétence évidente dans l'accomplissement des nouvelles tâches qui lui sont confiées depuis fin 2018, notamment contrôle des entreprises effectuant les remises en état des logements avant relocation, contrôle du temps effectivement passé et de la réalité des matériaux utilés , tâche délicate dont  elle est manifestement incapable et qui se traduit malheureusement, dans sa tournure intellectuelle, par le harcèlement des équipes chargées  de ces travaux qu'elle retarde dans leur ouvrage.