vendredi 3 novembre 2017
défaut ou mauvais règlages du chauffage
Cette année encore et depuis le mise en chauffe le 18 octobre, le chauffage ne fonctionne pas normalement.
Dans l'avis de Paris Habitat affiché dans l'immeuble annonçant la reprise du chauffage, il était mentionné qu'il était "normal" qu'avec des températures extérieures à 16°C les radiateurs (et les colonnes d'alimentation) pouvaient n'être que tièdes. Si tel était le cas, nous serions effectivement chauffés.
Or, nous grelotterons et nous enrhumerons encore cet hiver dans les appartements concernés. Sans chauffage.
A 12,8°C extérieur à 10h ce matin, les colonnes chauffage montantes et descendantes (à ne pas confondre avec celles de l'eau chaude collectives passant dans les toilettes, comme certains le font apparemment), dans les salles de bains de l'escalier A, pourtant situé au-dessus de la chaufferie, ces colonnes sont froides. Celles de la pièce principale également froides. Comme elles le sont restées toutes la nuit et toutes les autres nuits depuis la dernière semaine d'octobre.
On observe que vers 6h du matin et vers 19h le soir, la colonne montante devient timidement tiède dans la pièce principale ... pendant 8 minutes et la colonne retour demeure froide, puis s'éteint, mais dans la salle de bains, rien, pas la moindre variation, les colonnes sont froides. Ce qui signifie :
1) que le chauffage n'est plus relié à un thermosthat extérieur ;
2) que le règlage de la chaufferie est trop bas
Ce défaut de chauffage obligent les locataires dont les pièces sont exposées au nord, côté Sarrette, à brancher un chauffage électrique d'appoint dans les salles de bains et chambres en soirée et le matin et pour certains une grande partie de la journée. Ce qui n'est ni écologique, ni très économique pour eux.
Nous ne comprenons pas comment, si les anciens chauffagistes maintenaient une température régulière des deux colonnes d'alimentation chauffage dans chaque pièce, après seulement deux journées de tâtonnement, ceux que nous avons actuellement ne savent plus le faire.
Nous souhaitons donc qu'un règlage sérieux soit fait, afin que le chauffage soit régulier toute la journée, sans coupure constante, que les colonnes avec des températures extérieures inférieures à 15°C restent également tièdes et surtout qu'il ne s'éteigne plus la nuit quand les températures chutent.
Ce qui compte n'est pas la température dans la chaufferie, mais un égal et réel chauffage de toutes les pièces dans tous les appartements du groupe.
Cela ne sera jamais que la cinquième année que nous faisons cette demande.
mardi 17 octobre 2017
menaces sur le logement social
communiqué de Droit au Logement du 15 octobre
Il est bien le président des riches!
Il maintient la baisse des APL sans baisser les loyers du privé qui ont explosé
depuis 20 ans
Il maintient la main basse sur l’APL des bailleurs sociaux, pour payer la baisse de l’ISF
Il encourage la spéculation immobilière et épargne ceux qui en tirent profit
Arguant que la hausse des APL est la conséquence de la hausse des loyers, Macron soutient sans autre justification la baisse des APL sur les ménages les plus pauvres.
Il maintient la ponction de 60€ sur les allocataires HLM répercutée sur le budget des bailleurs sociaux :
Ce sont donc les bailleurs HLM qui
logent le plus d’allocataires qui seront les plus taxés, autant dire que
les mal logés auront bien du mal à se faire accepter par un bailleur
social et qu’il y aura moins d’argent pour entretenir, réhabiliter et
construire de nouveaux logements sociaux.
Il nous conte, pour justifier son
inaction sur le secteur locatif privé, qui justement a le plus profité
de la hausse des APL le miracle du choc de l’offre qui entraînerait une
baisse des prix et des loyers.
Or celle ci n’est advenue que lorsque
les loyers ont été encadrés ou à l’issue d’une crise immobilière.
Nous retiendrons de cette interview que Mr Macron est bien le président des riches :
Sa politique du logement saigne les
locataires les plus modestes, ceux qui ont vocation à les loger et
laisse sur le trottoir les plus fragiles, afin de financer la baisse de
l’ISF et les nombreux autres cadeaux octroyés aux nantis, aux promoteurs
et aux spéculateurs.
La prochaine étape sera sans nul doute
de précariser un peu plus les locataires, avec le bail mobilité et le
bail HLM révisable, de livrer les quartiers populaires attractif à la
spéculation et de renforcer les garanties des bailleurs privés à
encaisser des loyers chers.
la fin programmée des HLM en France
communiqué de presse de la CNL du 16 octobre 2017
HLM : Macron continue sa chasse au trésor fantôme.
Emmanuel
Macron défendait hier sa politique logement devant 9,5 millions de
téléspectateurs. Six minutes, à peine, pendant lesquelles le Président
de la République a essayé de justifier une réforme sournoise car non
annoncée dans son programme : la fin des HLM en France.
Lors de son intervention télévisée, Emmanuel
Macron n’a pas hésité à affirmer que beaucoup d’organismes HLM seraient
des rentiers assis sur des montagnes d’or. Le Président semble oublier
qu’à travers cette mesure profondément injuste, l’Etat défavorise
justement les offices qui auront eu la politique d’attribution la plus
généreuse, c’est-à-dire ceux qui ont le plus de locataires touchant les
APL.
mardi 28 mars 2017
Impayés de loyer : les préconisations de l'Anil
Vous êtes locataire et rencontrez des difficultés pour payer votre loyer : l'agence nationale pour l'information sur le logement (Anil) rappelle quelles sont les solutions à disposition pour éviter que la dette devienne trop importante.
Que les difficultés soient momentanées ou plus sérieuses, l'Anil préconise, dans tous les cas, de contacter rapidement le propriétaire bailleur afin de lui expliquer la situation et de chercher avec lui des solutions.
Les agences départementales pour l'information sur le logement (Adil) sont en outre les interlocuteurs privilégiés des locataires pour être informés et orientés vers les différents acteurs susceptibles de pouvoir les aider.
Différents dispositifs existent selon la situation du locataire :
- le locataire d'un logement social peut signer avec son bailleur un protocole de cohésion sociale impliquant la mise en place d'un plan d'apurement de la dette ;
- les salariés du secteur privé non agricole peuvent bénéficier d'une aide d'Action Logement (ex 1% logement) sous certaines conditions ;
- le fonds de solidarité pour le logement (FSL) peut accorder une aide directement au bailleur et déduite du montant de la dette du locataire.
Bailleur ou locataire peuvent saisir la commission spécialisée de coordination des actions de prévention des expulsions (CCAPEX) pour les aider à trouver une solution pour traiter l'impayé ou pour faciliter le relogement d'un locataire en grande difficulté.
Lorsque le locataire bénéficie d'aides au logement, l'organisme payeur (CAF ou MSA), saisi par le bailleur, informe la CCAPEX qui peut inciter le bailleur à établir un plan d'apurement de la dette.
En cas de situation particulièrement délicate, le locataire peut également saisir la commission départementale de surendettement afin de rechercher un accord amiable sur le report ou l'échelonnement des arriérés de loyers et des autres dettes.
Enfin des délais de paiement peuvent également être demandés au tribunal d'instance.
mardi 17 janvier 2017
Pas de chauffage la nuit, ça commence à bien faire !
Nous n'avons jamais été aussi mal chauffés que cet hiver.
Les locaux d'habitation devraient être chauffés en permanence, en hiver, à 19°.
Or, depuis quelques semaines, les locataires constatent que le chauffage s'éteint à partir de 1h du matin, les colonnes commençant à tièdir vers minuit par l'escalier A au pied duquel se trouve la chaufferie collective.
A 1h du matin toutes les colonnes alimentant les radiateurs sont déjà froides ! Et le chauffage ne redémarre lentement que vers 6h du matin pour être à peu près normal seulement vers 7h.
Quant à l'eau chaude, même arrêt la nuit (colonnes froides) les locataires du bout du bâtiment (esc. I) ont de l'eau vaguement tiède quand elle est déjà froide dans les autres escaliers.
La température n'est plus que de 17° dans les salles de bains à partir de 1h du matin et de 18° à peine dans les autres pièces. C'est tout à fait insuffisant
Les locataires ont le droit d'avoir des horaires de vie différents, notamment ceux qui rentrent ou partent tôt le matin. Et tous de ne pas grelotter dans leur salle de bains, ni d'avoir à chauffer de l'eau sur la gazinière pour faire leur toilette, ou être contraints de brancher un chauffage d'appoint pour chauffer les chambres, ou d'utiliser des couvertures chauffantes, chaque fois que le chauffage s'éteint nuitamment.
Ce qui est constant depuis la coupure totale de deux jours et demie le week end du vendredi 16 décembre après-midi, au lundi 19 décembre 14h.
Pour quelle raison le chauffage n'est-il plus manifestement relié à un thermostat extérieur en toiture ? Et pourquoi, le laisse-t-on s'éteindre quand la température extérieure est hivernale (entre 0° et -3° actuellement par exemple) ?
Les locaux d'habitation devraient être chauffés en permanence, en hiver, à 19°.
Or, depuis quelques semaines, les locataires constatent que le chauffage s'éteint à partir de 1h du matin, les colonnes commençant à tièdir vers minuit par l'escalier A au pied duquel se trouve la chaufferie collective.
A 1h du matin toutes les colonnes alimentant les radiateurs sont déjà froides ! Et le chauffage ne redémarre lentement que vers 6h du matin pour être à peu près normal seulement vers 7h.
Quant à l'eau chaude, même arrêt la nuit (colonnes froides) les locataires du bout du bâtiment (esc. I) ont de l'eau vaguement tiède quand elle est déjà froide dans les autres escaliers.
La température n'est plus que de 17° dans les salles de bains à partir de 1h du matin et de 18° à peine dans les autres pièces. C'est tout à fait insuffisant
Les locataires ont le droit d'avoir des horaires de vie différents, notamment ceux qui rentrent ou partent tôt le matin. Et tous de ne pas grelotter dans leur salle de bains, ni d'avoir à chauffer de l'eau sur la gazinière pour faire leur toilette, ou être contraints de brancher un chauffage d'appoint pour chauffer les chambres, ou d'utiliser des couvertures chauffantes, chaque fois que le chauffage s'éteint nuitamment.
Ce qui est constant depuis la coupure totale de deux jours et demie le week end du vendredi 16 décembre après-midi, au lundi 19 décembre 14h.
Pour quelle raison le chauffage n'est-il plus manifestement relié à un thermostat extérieur en toiture ? Et pourquoi, le laisse-t-on s'éteindre quand la température extérieure est hivernale (entre 0° et -3° actuellement par exemple) ?
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