En période de chauffe, la température intérieure constante doit être de 19° minimum et ceci 24h/24 et non seulement deux petites heures par jour comme nous le vivons actuellement.
Depuis la mise en chauffe, les colonnes ne sont même pas tièdes, elles sont FROIDES, pour des températures extérieures comprises entre 5 et 10° ces derniers jours.
Résultats : salle de bains 17°, séjour et autres pièces 18° dans la journée et ce soir.
De plus, après les travaux de réhabilitation terminés en 2007-2008, les purges de têtes de colonne ont été abandonnées, si bien que lorsque le chauffage est règlé trop bas comme c'est le cas manifestement en ce moment, seule la colonne montante est faiblement tiède, ce qui ne suffit pas à chauffer le radiateur lui-même. Les colonnes retour restent froides. Le chauffage n'est donc assuré que par les seules colonnes montantes trop tièdes.
Ce soir à 23h30 nous avons nettement l'impression que la chaudière est même éteinte ; température extérieure 5°, radiateurs et colonnes FROIDS. Pas de chauffage de toute la journée.
Et l'on ne pourra pas prétendre qu'avec 6° extérieur à 9h, 7° à midi et 10° à 16h , il faisait trop bon pour mériter de maintenir par chauffage normal les 19° à l'intérieur des appartements.
Nous sommes malheureusement chaque année depuis 6 ans, obligés de signaler ce défaut récurrent de chauffage insuffisant.
Paris Habitat répond de temps à autre en faisant un contrôle dans un appartement ... en pleine journée ensoleillée, mais jamais lorsqu'il ne fait que 5-6° dehors..
voir par exemple ce billet du 6 novembre 2012. (cliquez le lien).
Le groupe rue de la Vistule rencontre les mêmes carences de chauffage que nous :
décembre 2013 - 20, rue de la Vistule 13e
octobre 2014 - 20, rue de la Vistule 13e
mercredi 29 octobre 2014
vendredi 10 octobre 2014
compteurs d'eau à radio fréquence et leur relevé
Début février 2014, étaient remplacés les compteurs d'eau individuels par des compteurs radiatifs à radio fréquence.
Détail important, sur lequel nous reviendrons, les deux compteurs sont situés dans les toilettes. Installés, dans la majorité des cas, à hauteur de tête des utilisateurs du lieu.
Dates de relevé
Lors de l'installation, il nous avait été indiqué que nous serions informés sans changement, comme auparavant, c'est-à-dire, quelques jours avant, des dates de relevé de ces compteurs. Ce fut, en effet le cas lors du premier relevé des nouveaux compteurs en mars 2014. Par un affichage bien visible posé sur chaque porte vitrée de hall d'escalier. Quelques rares distraits qui n'avaient pas compris les explications des installateurs, ou pas posé la question à ce moment-là, attendirent en vain la venue du releveur.
Le relevé de ces compteurs comportant un module émetteur (en forme de demi cercle, ici) se fait désormais à distance par radio fréquence.
Pour le relevé d'octobre, très peu de locataires savent qu'il a été effectué ce 9 octobre, l'affichage informatif habituel, préalable, dans chaque escalier ayant été supprimé, sans aucun avertissement de Paris Habitat.
L'information des locataires n'étant plus apparemment faite que par un affichage unique (au format A5) le jour même du relevé, indiquant que les relevés de compteurs d'eau ont été effectués le 9 octobre.
Pour les locataires qui avaient l'habitude de contrôler les index relevés reportés sur le récapitulatif annuel consommation individuelle d'eau de Paris Habitat, qui n'ont pas vu, le jour du relevé, l'affichage unique placé dans l'un des panneaux à hauteur de la loge, ils seront obligés soit d'imaginer dans quelques jours -si après coup ils découvrent cette information unique - quels étaient leurs index de consommation le 9 octobre ou de se contenter, cette année, des données fournies sur le récapitulatif individuel de Paris Habitat.
Pour la bonne information, en temps réel des locataires, il serait souhaitable, , au prochain relevé, que l'information (le relevé... a été effectué aujourd'hui, "x date") soit disponible dans chaque hall d'escalier et donc que le releveur laisse 9 copies de son affichette.
Détail important, sur lequel nous reviendrons, les deux compteurs sont situés dans les toilettes. Installés, dans la majorité des cas, à hauteur de tête des utilisateurs du lieu.
Dates de relevé
Lors de l'installation, il nous avait été indiqué que nous serions informés sans changement, comme auparavant, c'est-à-dire, quelques jours avant, des dates de relevé de ces compteurs. Ce fut, en effet le cas lors du premier relevé des nouveaux compteurs en mars 2014. Par un affichage bien visible posé sur chaque porte vitrée de hall d'escalier. Quelques rares distraits qui n'avaient pas compris les explications des installateurs, ou pas posé la question à ce moment-là, attendirent en vain la venue du releveur.
Le relevé de ces compteurs comportant un module émetteur (en forme de demi cercle, ici) se fait désormais à distance par radio fréquence.
Pour le relevé d'octobre, très peu de locataires savent qu'il a été effectué ce 9 octobre, l'affichage informatif habituel, préalable, dans chaque escalier ayant été supprimé, sans aucun avertissement de Paris Habitat.
L'information des locataires n'étant plus apparemment faite que par un affichage unique (au format A5) le jour même du relevé, indiquant que les relevés de compteurs d'eau ont été effectués le 9 octobre.
Pour les locataires qui avaient l'habitude de contrôler les index relevés reportés sur le récapitulatif annuel consommation individuelle d'eau de Paris Habitat, qui n'ont pas vu, le jour du relevé, l'affichage unique placé dans l'un des panneaux à hauteur de la loge, ils seront obligés soit d'imaginer dans quelques jours -si après coup ils découvrent cette information unique - quels étaient leurs index de consommation le 9 octobre ou de se contenter, cette année, des données fournies sur le récapitulatif individuel de Paris Habitat.
Pour la bonne information, en temps réel des locataires, il serait souhaitable, , au prochain relevé, que l'information (le relevé... a été effectué aujourd'hui, "x date") soit disponible dans chaque hall d'escalier et donc que le releveur laisse 9 copies de son affichette.
samedi 30 août 2014
de l'accord collectif concernant les détecteurs de fumée
L'accord collectif conclu par Paris Habitat en décembre 2012, modifié le 24 mars 2014 par diminution de la quote part individuelle de charges récupérables, passant de 0,55€ prévus initialement à 0,13cts, demeure néanmoins, sur deux points essentiels, contraire à la loi car il n'a pas intégré toutes les modifications apportées, par la loi Duflot, au décret d'application de la loi de 2010, publiées au JO du 26 mars 2014.
En l'état, en obligeant de facto les locataires ou copropriétaires des logements de Paris Habitat, à renoncer à un droit d'ordre public contenu dans cette loi, l'accord collectif ne peut recevoir application (cf Cass. Civ. III 10.7.96) .
Il doit donc être contesté individuellement par chaque locataire ou copropriétaire de Paris Habitat, à l'adresse indiquée dans le courrier du 16 juin 2014, de M. Dambrine :
Paris Habitat - Direction des politiques locatives 21bis, rue Claude Bernard - 75253 Paris Cedex 05 -
en mentionnant en référence : Accord collectif DAAF + votre adresse avec le n° du logement et le n° UG figurant sur l'avis d'échéance.
En effet, pour le premier point, la loi indique que l'obligation d'installation (fourniture et pose) est à la charge du propriétaire.
Paris Habitat ne peut donc prétendre, même par accord collectif puisque la loi dispose du contraire , faire payer aux occupants de ses logements via une nouvelle charge récupérable :
- ni la pose, qui est à sa charge,
- ni une garantie "totale" (sic) de dix ans (garantie de dix ans étant déjà incluse dans le prix de l'appareil comme le mentionne en toutes lettres la notice remise par l'installateur) ;
- ni, encore moins, des frais financiers de portage.
De plus, il est à noter que ladite loi n'impose nullement une obligation de souscrire à un contrat de garantie étendue, ou d'entretien, pour ce dispositif.
Pour ce qui serait des pseudos "spécialistes de la pose" ou "professionnels de la fixation par deux vis" sur lesquels Paris Habitat insiste plusieurs fois dans ses communications, il est intéressant de lire l'avis figurant dans la fiche pratique consacrée aux détecteurs de fumée mise à jour en mai 2014 (consultable en format .pdf- téléchargeable en cliquant ce lien :
http://www.economie.gouv.fr/files/files/directions_services/dgccrf/documentation/fiches_pratiques/2014/detecteurs_autonomes_avertisseurs_fumee_daaf.pdf)
de la DGCCRF - Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes, disant en bref :
De plus, l'accord collectif conclu en décembre 2012, modifié par avenant en mars 2014, n'a été communiqué aux résidents des immeubles de Paris Habitat, que plusieurs mois après l'installation, joint aux avis d'échéance de juillet et aout 2014.
L'installateur faisant signer aux locataires une "autorisation" constituant en fait à une nouvelle renonciation à un droit d'ordre public. A l'insu du locataire ou copropriétaire qui n'avait pas été informé de cette disposition de la loi.
Paris Habitat insiste beaucoup sur la soi-disant "responsabilité du locataire" ou "obligations du locataire". Que dit la loi ?
liens :
DGCCRF sur les DAAF
Fiche pratique de la DGCCRF sur les DAAF mise à jour en mai 2014
En l'état, en obligeant de facto les locataires ou copropriétaires des logements de Paris Habitat, à renoncer à un droit d'ordre public contenu dans cette loi, l'accord collectif ne peut recevoir application (cf Cass. Civ. III 10.7.96) .
Il doit donc être contesté individuellement par chaque locataire ou copropriétaire de Paris Habitat, à l'adresse indiquée dans le courrier du 16 juin 2014, de M. Dambrine :
Paris Habitat - Direction des politiques locatives 21bis, rue Claude Bernard - 75253 Paris Cedex 05 -
en mentionnant en référence : Accord collectif DAAF + votre adresse avec le n° du logement et le n° UG figurant sur l'avis d'échéance.
En effet, pour le premier point, la loi indique que l'obligation d'installation (fourniture et pose) est à la charge du propriétaire.
Paris Habitat ne peut donc prétendre, même par accord collectif puisque la loi dispose du contraire , faire payer aux occupants de ses logements via une nouvelle charge récupérable :
- ni la pose, qui est à sa charge,
- ni une garantie "totale" (sic) de dix ans (garantie de dix ans étant déjà incluse dans le prix de l'appareil comme le mentionne en toutes lettres la notice remise par l'installateur) ;
- ni, encore moins, des frais financiers de portage.
De plus, il est à noter que ladite loi n'impose nullement une obligation de souscrire à un contrat de garantie étendue, ou d'entretien, pour ce dispositif.
Pour ce qui serait des pseudos "spécialistes de la pose" ou "professionnels de la fixation par deux vis" sur lesquels Paris Habitat insiste plusieurs fois dans ses communications, il est intéressant de lire l'avis figurant dans la fiche pratique consacrée aux détecteurs de fumée mise à jour en mai 2014 (consultable en format .pdf- téléchargeable en cliquant ce lien :
http://www.economie.gouv.fr/files/files/directions_services/dgccrf/documentation/fiches_pratiques/2014/detecteurs_autonomes_avertisseurs_fumee_daaf.pdf)
de la DGCCRF - Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes, disant en bref :
"Un DAAF, dont le prix moyen est de 20€, peut être installé par le seul occupant du logement, nul besoin de passer par l'intermédiaire d'un installateur. Par ailleurs, il n'existe ni installateur mandaté ou agréé par l'État ni de diplôme d'installateur reconnu par l'État. "Enfin, en ne laissant pas à l'occupant du logement la possibilité d'acheter et installer lui même le détecteur de fumée, à l'inverse de ce que dit la loi Alur ;
"L'obligation d'installation du dispositif faite au propriétaire d’un logement loué au moment de l’entrée en vigueur de l’article 1er de la loi de 2010 peut être satisfaite soit par la fourniture d'un DAAF à son locataire, soit par le remboursement au locataire de l'achat du dispositif.cet accord collectif l'obligerait à une seconde renonciation à d'un droit d'ordre public.
De plus, l'accord collectif conclu en décembre 2012, modifié par avenant en mars 2014, n'a été communiqué aux résidents des immeubles de Paris Habitat, que plusieurs mois après l'installation, joint aux avis d'échéance de juillet et aout 2014.
L'installateur faisant signer aux locataires une "autorisation" constituant en fait à une nouvelle renonciation à un droit d'ordre public. A l'insu du locataire ou copropriétaire qui n'avait pas été informé de cette disposition de la loi.
Paris Habitat insiste beaucoup sur la soi-disant "responsabilité du locataire" ou "obligations du locataire". Que dit la loi ?
"l'obligation d'installer au moins un détecteur normalisé dans le logement incombe à son propriétaire. Celui-ci doit par ailleurs s'assurer de son bon fonctionnement lors de l'état des lieux si le logement est mis en location. Toutefois, seul l'occupant du logement devra veiller à l'entretien, au bon fonctionnement et assurer, si nécessaire, le renouvellement du dispositif.et toutefois pour les logements loués au moment de l'entrée en vigueur de l'article 1er de la loi de 2010, modifiée, soit le 9 mars 2015, ce que nous avons indiqué plus haut :
"L'obligation d'installation du dispositif faite au propriétaire d’un logement loué au moment de l’entrée en vigueur de l’article 1er de la loi de 2010 peut être satisfaite soit par la fourniture d'un DAAF à son locataire, soit par le remboursement au locataire de l'achat du dispositif."Paris Habitat ne peut donc refuser, comme cela a déjà été fait, à des locataires en place qui achèteraient et installeraient eux-mêmes ce détecteur de fumée, de leur rembourser l'achat du dispositif. Même par accord collectif.
liens :
DGCCRF sur les DAAF
Fiche pratique de la DGCCRF sur les DAAF mise à jour en mai 2014
lundi 28 juillet 2014
Fibre : SFR en situation de monopole illégal dans notre immeuble
En refusant de répondre, ou reportant leur réponse de 15 jours en 15 jours de manière dilatoire depuis le début de l'année, aux opérateurs qui leur demandent de leur fournir la route optique de l'installation fibre réalisée dans le cadre du Triple Play social, certains locataires qui font appel aux services, comme c'est leur droit le plus légitime, d'un opérateur concurrent pour disposer d'un accès, double ou tripleplay, sur la deuxième fibre de l'installation, sont empêchés par ce blocage de SFR , d'avoir le choix de leur fournisseur d'accès.
SFR s'arroge donc, de facto, un monopole illégal sur le réseau fibre de l'immeuble.
De plus, l'installation dans les appartements de notre immeuble (ce n'est pas le cas dans tous les immeubles de Paris Habitat) a été mal faite puisque le boitier mural ne comporte qu'une sortie pour la fibre SFR, mais pas pour un deuxième opérateur... qui devra s'il veut raccorder à son service la deuxième fibre.. remplacer le boitier mural.
Et nous ne parlerons pas ici de la qualité déplorable du service télévision "social" de SFR. Là où il a un semblant de fonctionnement !
A l'heure, où il est question d'une nouvelle enquête de satisfaction, il est souhaitable que Paris Habitat, qui nous a imposé, sans nous consulter localement, ce fournisseur, prenne ses responsabilités et intervienne énergiquement auprès de SFR pour mettre fin :
1) au blocage monopolistique de la seconde fibre du réseau ;
2) au mauvais fonctionnement généralisé du service universel obligatoire de télévision du triple play social.
SFR s'arroge donc, de facto, un monopole illégal sur le réseau fibre de l'immeuble.
De plus, l'installation dans les appartements de notre immeuble (ce n'est pas le cas dans tous les immeubles de Paris Habitat) a été mal faite puisque le boitier mural ne comporte qu'une sortie pour la fibre SFR, mais pas pour un deuxième opérateur... qui devra s'il veut raccorder à son service la deuxième fibre.. remplacer le boitier mural.
Et nous ne parlerons pas ici de la qualité déplorable du service télévision "social" de SFR. Là où il a un semblant de fonctionnement !
A l'heure, où il est question d'une nouvelle enquête de satisfaction, il est souhaitable que Paris Habitat, qui nous a imposé, sans nous consulter localement, ce fournisseur, prenne ses responsabilités et intervienne énergiquement auprès de SFR pour mettre fin :
1) au blocage monopolistique de la seconde fibre du réseau ;
2) au mauvais fonctionnement généralisé du service universel obligatoire de télévision du triple play social.
vendredi 7 mars 2014
irradiation à 6 V/m depuis le 22 février
La limite de compatibilité électromagnétique des appareils entre eux est fixée à 3 V/m par la règlementation européenne et française.
Or, les antennes relai Orange, émettant en quadri bandes depuis le début de l'année, 4G incluse, et notamment celle de l'azimut nord, située à 25m des fenêtres de l'immeuble d'habitations Sarrette, nous irradient depuis le samedi 22 février à 6 V/m, mesuré aux fenetres des deux derniers étages, esc. A et B.
Dans les studios non protégés, l'irradiation dépasse régulièrement, 24h/24, les 3 V/m, rendant, de facto, ces appartements inhabitables en mettant gravement en danger la santé des résidents. Il est nécessaire de rappeler à l'ensemble des criminels qui ont permis la banalisation de cette irradiation électromagnétique permanente, que quatre résidents sont porteurs d'un appareil de monitoring cardiaque -pace maker- ; qu'un nombre important d'autres résidents sont porteurs d'implants et prothèses métalliques, généralement du titane qui est un excellent conducteur électrique.
Il est nécessaire de rappeler que dans les seuls escaliers A et B, en cinq ans d'irradiation en tri-bandes, on dénombre depuis trois ans : deux Accidents Vasculaires Cérébraux, avec séquelles importantes, trois embolies pulmonaires, deux maladies neurodégénératives, trois infarctus. Côté développement durable, la préservation de la bonne santé des résidents d'un immeuble arrosé aux micro-ondes serait un élément négligeable. En tout cas largement oublié.
Nos équipements électroniques conçus pour ne supporter que des irradiations inférieures à 3 V/m, en prennent également plein leurs composants : ampoules qui grillent tous les deux mois dans les halls, les escaliers et dans les pièces d'habitation exposées à cette antenne quadri-bandes, par surcharge électrique ; refrigérateurs neufs tombant en panne, interférences continues sur les téléviseurs et appareils radio, etc... La terre de l'immeuble est si surchargée électriquement par cette irradiation permanente qu'elle n'assure plus la protection des équipements électroniques.
Il faut bien se dire que si l'irradiation est mesurée à 6 V/m aux fenêtres côté jardin de l'immeuble Sarrette, à 25m de l'antenne relai, celle-ci émet évidemment bien plus en départ antenne et que les résidents qui demeurent juste en dessous pâtissent également de ces irradiations permanentes aux micro-ondes pulsées. Nous ne sommes pas le seul immeuble à Paris, où les résidents du dernier étage, sous les antennes, ont développé dans l'année qui a suivi l'installation du tri-bandes, un cancer, des inflammations articulaires généralisées lourdement invalidantes ou une maladie neurodégénérative foudroyante.
Au delà d'une irradiation permanente supérieure à 0,6 V/m, il y a déjà mise en danger de la vie d'autrui. A plus de 3 V/m, cela devient une irradiation permanente délibérement criminelle sur une population qui ne dispose d'aucun moyen de s'en protéger efficacement.
Or, les antennes relai Orange, émettant en quadri bandes depuis le début de l'année, 4G incluse, et notamment celle de l'azimut nord, située à 25m des fenêtres de l'immeuble d'habitations Sarrette, nous irradient depuis le samedi 22 février à 6 V/m, mesuré aux fenetres des deux derniers étages, esc. A et B.
Dans les studios non protégés, l'irradiation dépasse régulièrement, 24h/24, les 3 V/m, rendant, de facto, ces appartements inhabitables en mettant gravement en danger la santé des résidents. Il est nécessaire de rappeler à l'ensemble des criminels qui ont permis la banalisation de cette irradiation électromagnétique permanente, que quatre résidents sont porteurs d'un appareil de monitoring cardiaque -pace maker- ; qu'un nombre important d'autres résidents sont porteurs d'implants et prothèses métalliques, généralement du titane qui est un excellent conducteur électrique.
Il est nécessaire de rappeler que dans les seuls escaliers A et B, en cinq ans d'irradiation en tri-bandes, on dénombre depuis trois ans : deux Accidents Vasculaires Cérébraux, avec séquelles importantes, trois embolies pulmonaires, deux maladies neurodégénératives, trois infarctus. Côté développement durable, la préservation de la bonne santé des résidents d'un immeuble arrosé aux micro-ondes serait un élément négligeable. En tout cas largement oublié.
Nos équipements électroniques conçus pour ne supporter que des irradiations inférieures à 3 V/m, en prennent également plein leurs composants : ampoules qui grillent tous les deux mois dans les halls, les escaliers et dans les pièces d'habitation exposées à cette antenne quadri-bandes, par surcharge électrique ; refrigérateurs neufs tombant en panne, interférences continues sur les téléviseurs et appareils radio, etc... La terre de l'immeuble est si surchargée électriquement par cette irradiation permanente qu'elle n'assure plus la protection des équipements électroniques.
Il faut bien se dire que si l'irradiation est mesurée à 6 V/m aux fenêtres côté jardin de l'immeuble Sarrette, à 25m de l'antenne relai, celle-ci émet évidemment bien plus en départ antenne et que les résidents qui demeurent juste en dessous pâtissent également de ces irradiations permanentes aux micro-ondes pulsées. Nous ne sommes pas le seul immeuble à Paris, où les résidents du dernier étage, sous les antennes, ont développé dans l'année qui a suivi l'installation du tri-bandes, un cancer, des inflammations articulaires généralisées lourdement invalidantes ou une maladie neurodégénérative foudroyante.
Au delà d'une irradiation permanente supérieure à 0,6 V/m, il y a déjà mise en danger de la vie d'autrui. A plus de 3 V/m, cela devient une irradiation permanente délibérement criminelle sur une population qui ne dispose d'aucun moyen de s'en protéger efficacement.
mardi 25 février 2014
méthodes de brigands
Jeudi 20 février, le comportement très border line d' un homme a été observé depuis son salon par un locataire qui le surprenait d'abord à escalader, au milieu de l'après-midi, le portail d'accès réservé aux véhicules, puis aller ouvrir de l'intérieur à deux de ses "collègues" attendant devant le portillon "piéton", rue du Père Corentin. Ils s'introduisirent dans les escaliers visibles depuis son appartement en attendant qu'un résident entre ou sorte, ou en sonnant à tous les interphones pour se faire ouvrir.
Cette fine équipe bossait, nous le découvrirons une heure après son entrée dans la résidence, sans savoir alors comment ils y étaient entrés, pour l'opérateur Bouygues et tentait de vendre des abonnements à la fibre avec un argumentaire digne de l'âge des cavernes, à 37€ et des poussières avec une offre destinée à casser de la concurrence "tout compris", même la désinformation par omission.
L'homme coiffé à l'iroquoise, cause, la femme qui l'accompagne, un peu en retrait note sur un bloc qui se transforme peut être à un moment clef et à votre insu en un contrat que vous ne signerez peut être jamais.
Son attaque, brute de décoffrage, démarre sur la box SFR, car il sait évidemment que cet immeuble est sous contrat de "service universel ou de base" avec SFR, puisque, lui, veut occuper la seconde fibre, libre, en vous forçant un peu la main.
En écrivant cela, nous pensons surtout aux nouveaux locataires qui pouvaient être chez eux ce jour-là et n'ont pas déjà subi, comme les plus anciens, les assauts des opérateurs "officiels" qui furent tout aussi violents que celui-ci .
Et puis, comme après le premier passage des commerciaux de SFR, il y a cinq ans, dans la soirée aujourd'hui, pour vous convaincre que l'autre est bien mieux que celui que vous avez actuellement, on nous a fait le coup de l'écrasement de lignes. Entre 22h10 et 22h30, pof. Lignes écrasées.
A bien y regarder, à part quelques Orange, ce sont surtout des lignes Numéricable, qui ont été une fois encore écrasées. Bien sûr, ensuite lorsque toutes les plaintes seront remontées auprès des opérateurs concernés et que des amendes seront peut être distribuées entre brigands, le dindon de la farce ce sera encore vous. Parce que bien évidemment, les dédommagements vous n'en verrez pas la couleur, ils se les empochent entre larrons concurrents.
C'est à ce genre de méthodes de gangsters que l'on mesure, et non au matraquage publicitaire actuel de cet opérateur, la réalité du souci qu'il
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