La limite de compatibilité électromagnétique des appareils entre eux est fixée à 3 V/m par la règlementation européenne et française.
Or, les antennes relai Orange, émettant en quadri bandes depuis le début de l'année, 4G incluse, et notamment celle de l'azimut nord, située à 25m des fenêtres de l'immeuble d'habitations Sarrette, nous irradient depuis le samedi 22 février à 6 V/m, mesuré aux fenetres des deux derniers étages, esc. A et B.
Dans les studios non protégés, l'irradiation dépasse régulièrement, 24h/24, les 3 V/m, rendant, de facto, ces appartements inhabitables en mettant gravement en danger la santé des résidents. Il est nécessaire de rappeler à l'ensemble des criminels qui ont permis la banalisation de cette irradiation électromagnétique permanente, que quatre résidents sont porteurs d'un appareil de monitoring cardiaque -pace maker- ; qu'un nombre important d'autres résidents sont porteurs d'implants et prothèses métalliques, généralement du titane qui est un excellent conducteur électrique.
Il est nécessaire de rappeler que dans les seuls escaliers A et B, en cinq ans d'irradiation en tri-bandes, on dénombre depuis trois ans : deux Accidents Vasculaires Cérébraux, avec séquelles importantes, trois embolies pulmonaires, deux maladies neurodégénératives, trois infarctus. Côté développement durable, la préservation de la bonne santé des résidents d'un immeuble arrosé aux micro-ondes serait un élément négligeable. En tout cas largement oublié.
Nos équipements électroniques conçus pour ne supporter que des irradiations inférieures à 3 V/m, en prennent également plein leurs composants : ampoules qui grillent tous les deux mois dans les halls, les escaliers et dans les pièces d'habitation exposées à cette antenne quadri-bandes, par surcharge électrique ; refrigérateurs neufs tombant en panne, interférences continues sur les téléviseurs et appareils radio, etc... La terre de l'immeuble est si surchargée électriquement par cette irradiation permanente qu'elle n'assure plus la protection des équipements électroniques.
Il faut bien se dire que si l'irradiation est mesurée à 6 V/m aux fenêtres côté jardin de l'immeuble Sarrette, à 25m de l'antenne relai, celle-ci émet évidemment bien plus en départ antenne et que les résidents qui demeurent juste en dessous pâtissent également de ces irradiations permanentes aux micro-ondes pulsées. Nous ne sommes pas le seul immeuble à Paris, où les résidents du dernier étage, sous les antennes, ont développé dans l'année qui a suivi l'installation du tri-bandes, un cancer, des inflammations articulaires généralisées lourdement invalidantes ou une maladie neurodégénérative foudroyante.
Au delà d'une irradiation permanente supérieure à 0,6 V/m, il y a déjà mise en danger de la vie d'autrui. A plus de 3 V/m, cela devient une irradiation permanente délibérement criminelle sur une population qui ne dispose d'aucun moyen de s'en protéger efficacement.