Contrairement à ce qu'indique Paris Habitat-OPH dans tous ses documents actuels (affichage dans les immeubles notamment ) et sur son site Internet, voir ci-après :
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voir bas du texte message : "prix d'un appel local", même chose sur la seconde photo ci-dessus
l'appel au service dépannage (0 811 02 79 79), pendant les heures de fermetures des loges (week-end, fériés et en soirée) n'est pas compté comme un appel local, mais surtaxé à 6cts la minute, et ceci depuis au moins janvier 2013.
De même, si la panne se produit pendant la fermeture des loges de la mi-journée (midi à 15h15 en général) le service dépannage de Paris-Habitat ne prend plus les appels après 14h comme il le faisait logiquement auparavant. Les résidents sont, de facto, pris en otage une grande partie de la journée par ce déni de service. Le serveur vocal renvoyant le locataire vers la gérance... où l'on retombe sur un autre serveur vocal.
Compte tenu de l'accroissement des pannes d'ascenseur se produisant dans cette période horaire, au rythme d'une par semaine, en raison des interférences électromagnétiques provoquées par les antennes-relai émettant au-delà de la limite de compatibilité, à plus de 3 V/m plusieurs heures d'affilée, Paris Habitat devrait avoir la décence de revenir pour ce service dépannage à la tarification d'un l'appel local, car ses locataires sont doublement pris en otage du fait de ce changement subreptice du service ; les dépannages qui se faisaient auparavant dans l'heure de l'appel à ce service , étant reportés en début ou au milieu de la nuit... dans le meilleur des cas.
Les charges locatives d'entretien des ascenseurs continuent d'augmenter pour un service de plus en plus restreint et dégradé ; la majorité des pannes ayant depuis le début de l'année une origine "électrique"...
Il est aussi fréquent de voir, escalier A, un ascenseur se mettre en panne "électrique" dans la demi-heure suivant l'intervention d'un technicien sur cet ascenseur qui jusqu'à cet "entretien", fonctionnait.
A noter que les escaliers les plus touchés par ces pannes récurrentes sont depuis le début de l'année : le A, avec une panne "électrique" par semaine, le B qui n'en avait que très rarement auparavant, et le D où la cabine aime bien s'arrêter entre deux étages ou ne fonctionne qu'à partir du 1er étage, le I où l'ascenseur, situé juste sous les trois antennes relai, ne s'arrête pas à tous les étages quand il "bug". Les escaliers A et B se trouvant dans le lobe principal d'émission de l'antenne-relai, azimut nord, les moteurs ascenseur étant comme nous le savons, sous les combles.
Mais bien sûr, il ne faut surtout pas en parler, ni chercher à établir le lien de causalité, évident pour nous qui disposons d'un appareil de mesure des champs électromagnétiques.
(m.a.j. 14 mai)