vendredi 14 juin 2013

prix de l'eau potable à Paris, seconde partie

Dans le 14e, on s'aperçoit que tous les locataires de Paris Habitat ont payé le même prix au m3.
L'immeuble de la Porte Montrouge qui compte des propriétaires n'avait pas encore le chiffre pour 2012, mais les autres années sont identiques à celles de Sarrette qui a payé la même chose qu'Abbé Carton-rue des Plantes ou BRune-Chatillon :

- 2008 - 2,80 €/m3
- 2009 - 2,89 €/m3
- 2010 - 2,93 €/m3

- 2011 - 2,93 (++) (au lieu de 1,0464 €/m3 puis à 0,9627 €/m3 en juillet 2011) en tarif moyen : 1€/m3 - prix de l'eau pour l'ensemble des parisiens)
soit + 1,93€/m3 cette année-là pour les clients de Paris Habitat.

- 2012 - 3,03 €/m3 (soit 2 centimes de + que le reste des parisiens). On remarque que non seulement "l'oubli" de 2011 n'est pas rectifié, mais que PH nous ajoute un rab de 2 cts/m3 au lieu de nous rembourser 1,93 €/m3 trop facturé...

Le prix de l'eau à Paris est connu chaque début d'année, ainsi de 2013 :
"Depuis le 1er janvier 2013, le prix du mètre cube d'eau s'élève à 3,1123 €/m3 TTC, contre 3,0163 €TTC en 2012, soit une augmentation inférieure à 10 centimes d'€uros, qui représente une hausse de 3,2% par rapport à janvier 2012."
(à suivre)

mercredi 5 juin 2013

le prix de l'eau potable à Paris, première partie

Dans notre immeuble social, nous constatons en vérifiant le décompte de charges 2012, que Paris Habitat nous facture en charges locatives, pour 2012, l'eau froide potable à 3,03 €/m² alors que le parisien lambda la paiera 3,0163 €/m3, soit deux centimes de moins que nous autres résidents de "logements sociaux". Enfin.. c'est ce que nous pensions avant de commencer à sonder autour de nous les autres résidents de Paris Habitat.
Et là, nous tombons à la renverse et ce n'est qu'un début, à suivre. Vous pouvez nous communiquer les vôtres, qu'on rigole social. Ainsi pour 2012 :

- Paris 13e - groupe Vistule : 4,04€/m3 (de l'eau bio peut être) en 2010 et 2011 : 2,93€/m3 pour eux, ce qui correspondait en 2010 au prix du m3 parisien - voir ci-dessous ;
- Paris 14e - groupe Brune-Chatillon : 3,03€/m3  (+ 2 centimes) ;
- Paris 14e - groupe Sarrette-Père Corentin : 3,03 €/m3 (+ 2 centimes).

Le prix officiel de l'eau à Paris pour le particulier :
- 2010 : 2,93 €/m3
- 2011 : de 1,0464 €/m3 puis à 0,9627 €/m3 en juillet 2011
(baisse éphèmère hyper médiatisée à l'époque, qui était due "au retour à une gestion publique de l'eau par le biais d'une régie)
- 2012 : 3,0163 €/m3 (cette extraordinaire augmentation ne fut pas, elle, hyper-médiatisée)
- 2013 : 3,1123 €/m3

1) Nous habitons tous la même ville, le prix de l'eau potable est fixée pour tous les parisiens mais, de facto, le prix du m3 d'eau serait à la tête du client, surtout s'il vit dans un logement social locatif ? Pour comprendre ces incompréhensibles disparités, nous sommes quelques'uns a avoir mis un élu vert sur le coup coût...

(à suivre ...)

mardi 4 juin 2013

pétition pour stopper les implantations d'antennes-relais et WIFI sur les immeubles de logements sociaux et ...

http://www.avaaz.org/fr/petition/stopper_les_implantations_dantennes_relai_et_wifi,répéteurs,_sur_les_immeubles_de_logements_sociaux//?tta

Telles qu'elles sont toutes actuellement mises en oeuvres, déployées et utilisées les technologies de communication sans fil (antennes-relai, WIFI, WIMAX, etc..) sont incompatibles avec la préservation, en bonne santé, de la vie humaine, animale et végétale. Nous sommes malheureusement bien placés, aux premières loges des irradiés, pour l'affirmer.


exemple : antennes-relais et répéteurs entre le parc Montsouris et l'Institut Mutualiste Montsouris dont le bâtiment est plus haut que cette installation, en infraction avec règlementation du code des postes et télécommunications. Les émissions électromagnétiques des antennes "coupent" donc ici un établissement hospitalier. Cas extrèmement fréquent en milieu urbain.

ci-après, extraits de la pétition demandant l'encadrement par une loi, des implantations d'antennes relais ET WIFI (extérieur), répéteurs, sur tout le territoire :

"Interdire et encadrer toute installation d'antennes relais et wifi, répéteurs, sur les immeubles de logements sociaux, les écoles, les résidences de retraite, les foyers sociaux, les hôpitaux, et limiter les émissions des antennes relai à 0,6 V/m par vote d'une Loi".

Nous demandons qu'une loi interdise l'installation d'antennes relai et wifi sur les immeubles de logements sociaux, les résidences de retraite,les foyers sociaux, les écoles, les hôpitaux, les élevages d'animaux et qu'elle limite leurs émissions à 0,6V/m en application de la recommandation du 6 mai 2011 du Parlement Européen et la résolution du 27 mai 2011 du Conseil de l'Europe.

"Les études scientifiques publiées démontrent que les normes auxquelles se réfèrent les opérateurs de téléphonie mobile basées sur la recommandation de l'OMS de 1999, sont très largement obsolètes depuis le début de l'exploitation de cette technologie et n'assurent pas du tout la préservation de la santé des citoyens irradiés 24h/24h depuis 15ans par des technologies et des équipements de communication sans fil chaque jour de plus en plus nombreux, comme la toute dernière 4G, qui aggravent considérablement l'électrosmog.

De plus, les antennes relai sont quasi systématiquement installées sur les immeubles de logements sociaux servant de dépotoir à ondes sans que les locataires soient consultés, ni qu'ils puissents, à l'heure actuelle, voter, à l'inverse des immeubles du privé où les copropriétaires doivent voter à l'unanimité pour que le contrat avec l'opérateur puisse être signé.

Chaque personne à le droit de vivre dans un environnement sain, non dangereux.
Il est plus que temps qu'une loi nationale mette fin à l'impunité de l'industrie du sans fil qui installe ses antennes n'importe où et n'importe comment en ne respectant souvent même pas le code des Postes et Télécommunications : par exemple, antennes et repeteurs édifiés en contre-bas d'un immeuble se trouvant dans périmètre de l'antenne et non sur le bâtiment le plus haut de ce périmètre d'édification, comme c'est le cas de notre immeuble en infraction avec la règlementation du Code des Postes et Télécommunications."

Par sa résolution du 27 mai 2011, le Conseil de l’Europe a demandé aux gouvernements européens que l’exposition du public aux ondes électromagnétiques artificielles, en accord avec le principe de précaution, ne dépassent pas 0.6 V/m et à moyen terme de les réduire à 0.2 V/m. A ce jour, cette demande du Conseil de l'Europe n'a pas été traduite en droit français.

Pour ce qui est de la compatibilité électromagnétique des équipements électroniques entre eux, les élus, parlementaires et industriels violent (*)quotidiennement la règlementation existant depuis 22 ans, limitant les émissions électromagnétiques des appareils électroniques de radiotélécommunications ou autres à 3 V/m pour éviter les dysfonctionnements des équipements électroniques utilisés ou installés chez les particuliers, en ayant autorisé ou prétendant faire fonctionner des équipements de télécommunications émettant à plus de 3 V/m et en France jusqu'à 41 V/m à 61 V/m selon les fréquences utilisées !!...
(*) A savoir, respectivement : Art. L32-12° du code des postes et télécommunications, directive européenne 89/339, décret 92-587, directive européenne 1999/5/ce, directive européenne 2004-108/CEE.

Pour ce qui est du principe de précaution, il a acquis une valeur constitutionnelle depuis la loi constitutionnelle du 1er mars 2005 (article 5) relative à la protection de l'environnement. Le principe de précaution est ainsi considéré comme partie intégrante de la constitution."

Pour signer cette pétition, cliquez ce lien ou recopier son adresse dans votre navigateur :
http://www.avaaz.org/fr/petition/stoppere_les_implantations_dantennes_relai_et_wifi_repeteurs_sur_les_immeubles_de_logements_sociaux//?tta 

Parmi les premiers signataires de la pétition :
René Dutrey, adjoint au Maire de Paris, chargé du développement durable, de l'environnement et du plan climat, des responsables associatifs du logement social de Paris et de la banlieue parisienne, des locataires de logements sociaux, directeurs d'école, parents d'élèves, artistes du 14e, etc...